Il traîne depuis des mois dans mon vestiaire, je me décide à l’achever en lisant à haute voix afin, outre le simple plaisir d’entendre de l’italien à mes oreilles même estropié, de m’entraîner à fermer les « e » trop ouverts jusqu’à présent (voir le jeu télévisé à Venise). Au fait, plus de nouvelles de ma correspondante italienne. Elle qui était si prompte à répondre (et presque trop pour mon italien hésitant à l’écrit), n’a plus donné signe de vie depuis un mois.

 

24 mai 2002