J’ai fait de la saisie, tant bien que mal, puis j’ai tenté de lire au jardin (j’ai repris Calvino, le dernier texte de La strada di Giovanni, « Dall’opaco », fantaisie sur la vision du monde qui m’a beaucoup plu malgré le vocabulaire qui m’a manqué à certains moments) avant de me réfugier à l’intérieur (et en ce moment, des cris, des voix, des voitures dans la rue).

 

22 juin 2014