Au retour de l’Escadrille, j’ai commencé à remanier la troisième partie de La centième affaire, puis, avec une cigarette sur le balcon (je m’y tiens, malgré la nette baisse de la température aujourd’hui), j’ai achevé Psychogeography qui, finalement, se révèle beaucoup plus intéressant que je ne le pensais ; il ouvre des voies, me fait réfléchir (je m’y retrouve, d’une certaine façon) et me fournit des pistes de lectures. Puis, à regret, nous avons pris la route du retour (sous une pluie battante jusqu’à Tourbe la maudite).
4 janvier 2016