J’arrête Les Pénitents à la page 207 ; ça se traîne, ça ressemble à un long article de journal plutôt qu’à une histoire ou un roman, je renonce (quant à la fin, j’avais vu juste – j’ai lu la dernière page). Il y a quelques notes à reporter :

 

113 elle avait hanté

Ça y est, c’est fait, en 2006, un auteur en écritures l’a fait ; le caca popo est passé à l’écrit :

« Cette mesure […], elle avait hanté ses nuits. »

 

122 « une immense croix… » ?

« L’une portait avec force grimaces, putain qu’elle est lourde, une immense croix en bois dont le Christ semblait prendre quelque plaisir à voir du monde. »

 

1er décembre 2015