Je me suis arrêté à la centième page. Je ne le finirai pas. Belle langue, un peu tarabiscotée, mais qui me semble ne rien dire. Je n’en saisis rien. Que dit-il ? Que veut-il dire ? J’ai alors lu la préface qu’il a lui-même écrite. Il y est question de rapport à Dieu, de lien entre chair et foi. La préface est aussi ennuyeuse et tortueuse que cette pièce où les personnages me paraissent d’un vide total. Ça pourrait tout aussi bien être des figurines de bois. Mais peut-être est-ce le but ?
27 septembre 2005