Mola, table de la baie, soleil (mais avec une légère brume qui me cache la Belgique), café… À ma gauche, un « Instantané du polar » de la Baleine, Saxo alto d’un certain Gilles Corre. Je l’ai trouvé ou acheté je ne sais où (non : la boîte aux livres du bas de la rue toujours aussi surprenante en contenu), l’ai mis en vente et en le feuilletant pour vérification suis tombé sur le mot « violette ». C’est un personnage. Je vais donc le lire pour tous les chasser (si tant est que je parvienne à lire ; j’en parlais justement avec Jeanne, de mon incapacité actuelle de lire principalement à cause de Mai – je lui en avais déjà parlé, de mon « testament », je n’en ai pas le souvenir – et elle ne comprenait pas qu’on ne puisse pas lire même avec dans la tête des pensées d’écriture)