« Montesquiou notait ses impressions à tout moment, pendant une conversation ou
durant une soirée, sur n’importe quel bout de papier, en marge d’un journal, au
dos d’une enveloppe. Il avait commencé à réunir toutes ces notes, et à les
classer en un volume manuscrit dont le premier chapitre fut intitulé Netzkès,
mot qu’Edmond de Goncourt définissait comme de petites statues d’ivoire et de
bois auxquelles travaillaient des artistes, généralement de spécialistes qui se
consacraient exclusivement à la représentation d’un objet ou d’une créature. » Il est tout de même curieux qu’il n’ait pas eu un calepin...