« Il [Montesquiou] a tendance à prendre Proust pour un malade imaginaire et
l’accuse de guérir quand cela l’arrange. […] Le malade lui écrit : “ Vous êtes,
Monsieur, plus cruel que les plus cruels des théologiens catholiques qui
voulaient que nous prissions nos maladies pour des punitions de nos fautes. ” » C’est dans le fond une belle idée...