Ils reviennent plusieurs fois dans le texte, références à la japoniserie de cette fin de siècle.  « Des kakemonos et des fousoukas, élus avec soin, faisaient se dessiner des châteaux, non pas en Espagne, mais dans le disque de l’astre cher aux nyctalopes. » Plus loin :
 « Aux murs, dans un cadre laqué de lilas, un kakemono  tout entier occupé par une seule longue grappe de glycine […]. » Le correcteur ne les refuse pas. En effet : « kakémono (chose suspendue) : peinture japonaise sur soie ou sur papier, étroite et haute, suspendue verticalement ». Pas de trace du second dans le Petit Robert, ni dans mes autres dictionnaires... Il s’agit sans doute de fusuka. Je le trouve sur le réseau avec, dans un site, cette bizarrerie, à vendre « fusuka (paire) » et ensuite « paire de véritables fukusa » et, plus bas, cette explication : « un fukusa est une sorte d’enveloppe en textile, servant à emballer un cadeau ou à faire un don ». Je retrouve cette bizarrerie dans une autre site : à vendre « ancien textile japonais Fusuka de la période Meiji » et plus bas : « Panneau Fukusa en soie japonaise ». Alors ? Je poursuis mes recherches et d’autres sites associent les deux. Dans un dictionnaire japonais, je trouve fukusa, mais avec cette définition : « petit carré de soie utilisé pour nettoyer les ustensiles lors de la cérémonie du thé ». Pas de trace de fusuka dans ce dictionnaire. À suivre...