Ce matin après le petit déjeuner et installé dans le sofa jaune du salon de lecture, j’ai entamé L’Échange. J’en ai lu vingt pages, puis l’ai refermé et suis monté le poser sur la pile des ouvrages à répertorier (soixante centimètres). Il y a une phrase lys à la page 24. C’est à cet endroit que j’ai décidé de m’arrêter.
4 mai 2009