« Assis tous les trois devant le feu mangeant des marrons, je commence à distribuer des baisers ; et Bellino à son tour ne manque pas de complaisance. Je touche, et je baise les naissantes gorges de Cécile et de Marine, et Bellino, faisant un sourire, ne s'oppose pas à ma main qui entre dans son jabot, et empoigne un sein qui ne me laisse plus douter de rien. »

Qui donnera :

« Assis au milieu d'elles auprès d'un bon feu, en mangeant des marrons que nous humections avec du chypre, je commençai à distribuer quelques baisers innocents à droite et à gauche. Mais bientôt mes mains avides touchèrent tout ce que mes lèvres pouvaient baiser, et Cécile et Marine s'amusaient fort à ce jeu. Bellino souriant, je l'embrasse aussi, et son jabot entr'ouvert semblant défier ma main, je m'aventure et je pénètre sans résistance. Jamais le ciseau de Praxitèle n'avait taillé une gorge aussi bien prise ! »

Ah, Praxitèle, que l'Allemand lyrique n'a pu s'empêcher d'invoquer...

Et aussitôt après...