Je l’ai avalé d’un trait et en étais presque à trembler en lisant les deux dernières pages (jusqu’aux deux phrases finales qui m’ont mis en rage ; il n’y a donc eu personne pour le sommer de les retirer ?). Quelle belle histoire, et si bien menée (et qui se termine sur une bonne note ; en cours de lecture, alors que tout allait dans le sens d’une fin dramatique, je m’étais dit : « et si pour une fois ça allait à contre-courant et que ça se terminait bien ? il n’y a pas de mal à ce qu’un récit actuel se termine bien, si ? ») (J’ai écrit à Emerald : « ce texte est une joie ».)
7 juin 2018