J’étais en pleine saisie, Éléonore est montée me demander si je voulais l’accompagner chez Emmaüs. Après Emmaüs (quelques livres), Vert de Terre (quelques bières) et Braderie Box (quelques livres), il était presque l’heure de l’apéritif. J’ai allumé ma troisième cigarette (j’étais parti sans mon tabac) en entamant le Café Excelsior de Claudel (Philippe). Grand-mère (non, grand-père – mais un peu de grand-mère aussi – puisque c’était lui qui tenait le café), enfance, souvenirs teintés d’une nostalgie non avouée ; ça fait cinquante pages, mais je ne suis pas sûr d’aller jusqu’au bout. À présent, mise en ligne (pas grand-chose)… Mon état physique général est un peu meilleur…
22 juillet 2023