Je suis allé sur le réseau pour voir à quel prix se vendait « mon » Jésus-la-Caille. C’est ainsi que j’ai appris que le texte datait de 1914 (pas de copyright sur cette édition) alors que je le situais, et ce sont sans doute les illustrations qui m’ont influencé, dans les années cinquante, précisément. Voilà qui change la perspective de la lecture que de ce fait je vais reprendre. Horace le rapproche de Cendrars, de Mac Orlan ; il est vrai que j’ai aussi tendance à oublier que le gros de leur œuvre se situe entre les deux guerres et que je les assimile à des auteurs de l’après-guerre.

 

1er juillet 2005