De la fabrication du chocolat, où j’apprends le mot « conchage », procédé de raffinage mis au point par Lindt ; des conseils de dégustation ; des composants du chocolat ; des variétés, donc les bonbons de chocolat (au chocolat ? y a-t-il une différence ? ne serait-ce pas une déformation due à la traduction ?), c’est-à-dire ce que l’on appelle les chocolats (mon étonnement malgré tout que l’accent soit porté sur des produits dérivés du chocolat plutôt que sur le chocolat lui-même, et si je considère par exemple la pyramide à la fraise de chez Wittamer – excellente, au demeurant –, je me demande en quoi il s’agit encore de chocolat, et il en va de même pour bon nombre des « chocolats ») ; enfin, sans doute le plus intéressant, le répertoire des meilleurs chocolatiers, qu’ils soient artisanaux, semi-industriels ou industriels, la part belle, évidemment, étant laissée aux artisans... Quelques adresses en France, Angleterre, USA, Italie ; et en Belgique, bien sûr où j’ai déjà relevé Marlier, où nous avons testé – par le plus grand des hasards, voir journal – Wittamer et Godiva (à noter le chocolatier italien dont m’a parlé Noël du bureau, sis au Grand Sablon – il ne figure pas dans le livre), où il reste à voir Mary à Bruxelles, Charlemagne à Herstal (j’ignore où cela se trouve), Colas à Modave (idem). Je note que l’auteur donne la pyramide comme étant en chocolat noir « très beurré, mais pas trop sucré »…

 

30 avril 2002