Venise, Calle Corner, Santa Croce. Hier, avant d’éteindre la lumière, j’ai lu une énième fiaba, « Buono come il sale », assez pauvre, à l’image des autres de Bologne qui précèdent. Il pleut sans discontinuer. Je travaille au 17 octobre en attendant que cela cesse un peu pour que je puisse aller faire un minimum de courses.