La « dame » écrit dans sa lettre :

 

« La nuit où j’ai fini de lire ton livre, j’ai fait un rêve : j’ai rêvé de cette scène qui se trouve dans un film de Jancso.

Une prisonnière nue que l’on fouette, est obligée de courir entre deux rangées de soldats. »

 

Une heure auparavant, j’avais fini de regarder Rouges et blancs de Jancso, metteur en scène hongrois dont je n’avais jamais entendu parler. Malheureusement, la scène en question n’y figure pas (bien qu’elle ait parfaitement pu s’y trouver, et à un moment donné j’ai même eu un doute). J’aime beaucoup ce type de rencontres à masque de signes…

 

(J’ai très mal exprimé ce que je voulais dire

au sujet de mon trouble suite à cette lecture…)