Éléonore, Léo et moi dans la cuisine alors que je terminais de préparer le repas. Léo était passé pour la séance de Mah-Jong devenue rituelle en début d’année, d’où il ressort qu’il est bon pour le loisir et la nonchalance, mais assortis de tâches à accomplir avec le plus grand sérieux ; une femme mûre se détache de l’ensemble ; flou pour Éléonore ; quant à moi, contre toute attente, fortune, intelligence, des femmes en pagaille et, pour clore, un visiteur qui viendrait de l’étranger. Je vais revoir tout cela ce soir. Il m’a offert un Cueco, Le collectionneur de collections, à Éléonore un Kawabata, je lui ai offert, après hésitations, le Comment se débrouiller… auquel je joins le second exemplaire du Zen qui me restait... (En fin d’après-midi, Sosthène au Centre d’Art pour une performance sonore avec une danseuse. Pénombre. Très beau. J’ai tout enregistré – son Kenzo).
13 janvier 2006