« Cela fait un curieux mélange avec le chant des repiqueuses de riz, en contrebas de la route, qui travaillent à minuit, leurs jambes enfoncées dans l'eau pleine de sangsues ; car c'est le seul moment où elles peuvent accomplir leur tâche sans trop craindre d'être mitraillées. Elles aussi, elles chantent. Je me fais traduire les titres de leurs chansons. L'une d'elles dit : “ Notre pays est divisé en deux, mais, au large, les eaux se rejoignent... ” »