Concernant un village rasé par un bombardement que rien ne justifiait
(mais
faut-il absolument et vraiment que les bombardements se
justifient ?) : « Renseignements pris, ce village, comme
beaucoup d'autres, n'avait que le tort de se trouver sur
l'itinéraire des bombardiers qui, au terme d'un raid, larguent
leurs dernières bombes, faute, autrement, d'avoir le droit
d'atterrir
sur
leur porte-avions d'origine. »
En
sus de cette absurdité totale (qui me fait songer au brûlage du
carburant dans les casernes en fin de période de budget
qui, elle a au moins le mérite de ne nuire à personne), il y a
cette autre : ne pouvaient-ils les larguer dans la mer ?
(Mais peut-on imaginer un tel gâchis, des bombes lancées qui ne
toucheraient que des poissons et des crustacés ?)
Le lecteur, à juste titre, a marqué les trois pages concernant ces atrocités...