La fin approche ; il fallait bien qu’il y ait un long laïus consacré aux Juifs. L’auteur l’est (j’avais écrit « en est un »), Solal aussi, l’action se passe en 1936 (il a fallu près de sept cents pages pour que l’action s’installe dans le temps ; c’est dommage, l’atemporalité était préférable même si tout disait – non, pas vraiment tout, certains éléments font douter – que les faits se situaient avant la Deuxième guerre mondiale. Et à la réflexion, je ne vois pas ce que l’Histoire apporte dans l’histoire. Les mentions de Hitler, de Mussolini sont purement gratuites, et parfaitement inutiles. (Le stylo déconne de nouveau ; Stipula cracra…)
28 janvier 2017