Rien de particulier, banque, Caisse d’Épargne, poste, Civette, puis Action et Foirefouille avec Éléonore (je n’ai pas fait la tête, ai été très conciliant, elle a dû le remarquer). J’ai un peu bricolé à La nouvelle vie VI, puis, au soir, une fois monté, j’ai préparé la maquette de Dzien, novembre ; des problèmes avec les zones de texte m’ont mené jusqu’à trois heures du matin, et ce n’est pas résolu. Je viens d’achever La nuit du Décret, difficilement, d’une part à cause de mon mal de crâne, d’autre part parce qu’Éléonore est venue s’installer à la table en face de moi pour me lire les nouvelles de la Voix du Nord (dont l’étrange histoire d’un « Américain » à moitié nu qui a dégradé l’intérieur de la basilique)… Je n’ai toujours pas entamé la saisie des jours précédents, je dois en être à dix jours. Je pense que je vais me la réserver pour Mola la semaine prochaine… Castillo, au fait. La fin est un peu bête. Comment finir un tel texte dont, finalement, je ne sais que penser, même si je l’ai lu avec un certain plaisir ? Il m’aurait sans doute davantage accroché sans ses airs fin XIXe (c’est peut-être volontaire). Quoi qu’il en soit, la fin est inattendue (et, à la réflexion, invraisemblable). Je ne pense pas que je lirai d’autres textes de lui (tiens, dans Dzien d’octobre, je parle de La Guitare)…