Emerald m’a écrit :
« Si vous avez reçu le troisième livre de C. Castaneda, il s'agit du Voyage à Ixtlan. J'ai très peu de mémoire mais je me rappelle que d'une seule phrase (approximativement), je vous l'écrirai quand vous aurez terminé ce troisième “ voyage ” en compagnie de ces Guerriers... »
Je lui ai répondu :
« Je suis arrivé à la page 214 (oui, il s'agit bien du Voyage à Ixtlan, traduction fidèle cette fois, Journey to Ixtlan) et depuis que j'ai lu votre dernière lettre, je suis à l'affût de la phrase qui vous est restée de votre lecture. C'est exaltant et gênant tout à la fois, je pense que vous comprendrez pourquoi. J'espère seulement qu'elle se trouve dans les pages précédentes ; nous verrons s'il y a eu coïncidence, c'est-à-dire si je l'ai déjà relevée ou si j'en ai gardé un quelconque souvenir. »
J'ai ensuite relevé la phrase suivante :
« What stopped inside you yesterday was what people have been telling you the world is like. »
« Hier, ce qui s'est arrêté en toi, c'est l'image que l'on t'a donné du monde. » (ou le monde tel qu'on te l'a décrit ; ou ce que l'on t'a dit du monde)