Dans la préface, Francis Lacassin écrit : « À la fin du siècle dernier, un casanoviste suisse prétendit, lui, avoir retrouvé l’hôtel des Balances à Genève dans lequel Henriette et Casanova s’aimèrent et se séparèrent pour la première fois. On lisait encore sur une vitre : “ Un jour, tu oublieras Henriette. ” Une découverte aussi émouvante et aussi suspecte que celle d’un morceau de la vraie Croix. Ainsi donc, après tant d’années, ce carreau avait eu la chance de n’avoir jamais été cassé, ni remplacé malgré l’inscription lisible ? » Ce que je trouve autrement plus étonnant, c’est qu’elle n’ait tout simplement pas été effacée