Mais ce n’est pas tout à fait fini. Il reste des textes en annexe, et d’autres encore à découvrir que j’ai relevés au fil de la lecture… Alors que je l’achevais, m’est venu à l’idée de tout reprendre de zéro ; mais aussi de poursuivre le journal de Pepys qui m’était complètement sorti de la tête. Avant d’oublier, voici un passage singulier, et pour tout dire, incompréhensible, à la page 1 034 : « Les nègres sont d’une autre espèce, ce n’est pas douteux ; ce qu’ils ont de particulier, c’est que la femme, si elle est instruite, elle est maîtresse de ne pas concevoir, et même de concevoir à son gré mâle ou femelle. Si mon lecteur ne le croit pas, il a raison, car selon notre nature la chose est incroyable ; mais il resterait persuadé comme moi si je lui en communiquais la théorie. » Et cet autre, savoureux, à la page 1 045 : « Elle me dit que dans l’accouplement amoureux, quoique très fort au combat, il enrageait de ce qu’il ne pouvait pas parvenir à se procurer le plaisir qui conduit à la crise attachée à sa fin, et qu’il la menaçait de l’étrangler lorsqu’elle ne pouvait pas s’empêcher de laisser paraître par des marques extérieures la volupté qui dans la besogne lui inondait l’âme. »
3 octobre 2007