« Gugitz et d’autres avec lui ont douté de l’authenticité de Leonilde, en vertu d’une note retrouvée à Dux : “ J’ai eu (rayé : un fils) une fille de D. Lucrezia que j’ai aimée à Naples. ”

Casanova pouvait-il vraiment être incertain quant au sexe d’un enfant qui aurait joué, selon les Mémoires, un rôle si important dans sa vie ? »