« Sur les dix heures la trouvant au lit comme toujours, et triste de ce que l’opiat que je lui faisais prendre ne faisait aucun effet, je lui ai parlé de l’Aroph de Paracelse, comme d’un topique immanquable fait pour affaiblir l’anneau de la matrice. Ce fut dans le moment que l’idée me vint de lui dire que l’Aroph devait être amalgamé avec du sperme, qui n’aurait perdu, pas un seul instant, sa chaleur naturelle. »