Acheté chez Ulysse avec deux autres Picquier japonais puisque le Saramago et le Casarès que j’avais commandés ne sont toujours pas arrivés. Lise est toujours à Rome, c’est Saturnin qui tient la boutique. Il n’est guère très confiant quant à l’avenir de la librairie. Sur le comptoir, je vois le dernier Harry Potter en anglais. Je m’en étonne. « J’en ai commandé seize. » « Seize ? » « Nous avons vendu quarante exemplaires du précédent. » « En anglais ? » « En anglais. » La situation de la Belette serait toujours aussi catastrophique.

 

16 juillet 2005