Journée à rien. C’est bien. À rien, pas tout à fait, puisque je viens d’achever le long et laborieux parallèle Mes fuites des prisons de Venise avec ce qui en figure dans Histoire de ma vie... Je me demande
quelle est la raison d’être de ce travail… (La raison d’être, c’est la perspective d’un livre ; mais y a-t-il
un véritable intérêt à se lancer dans la rédaction d’un tel livre ? Je gage que jamais ça ne quittera mes « tiroirs »…)

13 août 1999