C'est austère, sec. Ça demande de la concentration, du temps. C'est du plus grand intérêt même si je désapprouve nombre de ses réflexions et, peut-être, son attitude en général ; encore qu'en faisant une énième lecture du Pauvre, je me sois étonné que mon ton n'était pas très éloigné du sien. Heureux que mon texte s'émaillent (?) de détails quotidiens, de « choses de la vie » ; et d'amour, de rapports à l'autre, ce dont mais ces carnets sont expurgés le sien est totalement dépourvu...
5 mars 1998