La femme du narrateur se suicide dans l’asile où
il l’a placée. Elle a été élevée par son oncle et sa tante. Plusieurs
années passent, la tante est sur son lit de mort et écrit à l’époux pour
lui poser cette question : « Je crois que son suicide a fait suite
aux électrochocs qu’elle a subis et il y a une question qui
m’obsède depuis, une question à laquelle je vous demande de répondre afin
de m’assurer la paix avant que je ne meure : est-ce vous qui avez dit
aux médecins de les lui infliger ? » Il lui envoie une carte postale
au dos de laquelle il écrit simplement : « Non. » Quelques
semaines plus tard, il reçoit une carte postale qui lui annonce la mort de la
tante. Il se demande si elle a effectivement reçu la sienne, question à laquelle
il n’aura jamais la réponse…