Tour d’horizon avant de le ranger. Quelques détails sur la Venise d’alors, habitudes, le carnaval… Quant à Canaletto, je ne lui trouve véritablement d’attrait que dans la mesure où il s’agit de Venise. Quelques vues étonnantes malgré tout, dont la série des « campo » dont j’aime le mélange de vide et de chaleur, et la finesse et la rectitude du trait qui leur confère une sorte d’irréalité et un gauchissement qui les sort de la « vue », dans son sens photographique (et que je retrouve dans L’entrée de l’Arsenal)

 

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