« Des êtres dont le cerveau ronronne doucement
en attendant d’arrêter au commandement [pas sûr,
c’est illisible] du
cœur, du ventre et des poumons qui n’en pourront plus de supporter l’assaut des
excès. » Ça m’a été inspiré par la page 64 et
65...
159 se levaient matin
« […] les commères du quartier se levaient matin […]. »
C’est Innocent qui dit cela suivant la formulation locale
au Burkina-Faso…
259 première étape...
270 note 1
362 idem
« […] en les priant bien fort d’aller paître
plus loin leurs infects troupeaux. »
11 novembre 2015