Je marche et pense à Olivette, au 3 mai de Mai, la scène où je la vois nue, puis celle de la guitare, toutes deux à réécrire entièrement… Elle est au Cambodge, rencontre un Allemand, a un enfant de lui, ils s’installent dans son pays. En relisant sa rencontre avec Romuald aux Bretons, je m’étais demandé si cet Allemand père de son enfant ne pouvait être lui (mais était-il allemand ? il parlait français et habitait Bruxelles, pourquoi avais-je pensé qu’il était allemand ?). Mais il était adulte à l’époque (mais pourquoi pas, je la voyais bien avec moi). Quoi qu’il en soit, il est étrange et amusant qu’à présent elle vive en Allemagne, point de départ pour elle et moi (je ne dis plus de « nous deux »)… Ironie, parmi les quatre livres de la book-box ce midi, Le festin nu

 

28 avril 2025