Soleil, temps magnifique. J’ai lu les trois dernières pages au jardin. Le soleil ne m’a pas incité à l’indulgence, ne m’a aidé en rien à accepter la faillite totale qu’est ce texte. Tout se dévoile dans les deux dernières pages, révélation finale propre au genre policier. Mais cette révélation est d’une telle inanité et si conforme à une école de troisième catégorie de la littérature que j’ai eu du mal à croire que l’année suivante Le Journal allait paraître (l’expression « faux Mauriac » m’est passée par la tête). Est-ce une commande ? est-ce purement alimentaire ?

Quelques notes