Hier soir, exténué, je me suis laissé tomber dans le rocking-chair, incapable de quoi que ce soit, de penser, d’écrire ou de lire. À ma droite, parmi les livres en cours et délaissés, j’ai avisé La sposa (je l’ai retrouvé dans mon sac de voyage). Je l’ai ouvert où je l’avais arrêté (à Treviso…), me suis mis à lire, à haute voix. Quel plaisir…

 

11 juin 2015

 

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