Il pleut. Après le petit déjeuner, j’avais décidé d’achever Baudelaire. À la suite de Journaux intimes, se trouve une partie intitulée Table des concordances ; il s’agit de poèmes en vers liés à ceux en prose du Spleen (lequel a inspiré l’autre ?). Je pensais faire l’impasse, puis me suis mis à les lire à voix haute ; il y a de très belles choses. Quelques pages closent l’ouvrage (c’est le moins), Projets de nouvelles et de petits poëmes. Je ne suis pas mécontent d’avoir « relu » ce livre dont il ne m’était rien resté. Il y a une multitude de notes