Ensuite : je n'aime pas la toute
dernière ligne qui, pour une raison que dans deux jours une
heure, demain, je trouverai vraisemblablement stupide
mais pas forcément , m'a semblé
racoleuse, et, pour tout dire, facile (le train de ta colère
roule sur les rails de mon indifférence, etc. désolé).
Ensuite : il y a deux pages
magnifiques sur Dieu
(p. 32, 33).
Enfin : m'en reste encore une
quinzaine à découvrir, lire.
J'espère sincèrement pouvoir y aller (en tremblant, si
possible)...
7 novembre 1992 (lettre à Mylène et à Maurice)