Il y a du vent (mais il y a toujours du vent à Noeudville), mais du soleil aussi. C’était l’occasion d’une promenade dans le parc du musée et d’un café avec Bernières et une troisième cigarette à l’intérieur. Déjà, en passant devant le parking, j’avais noté la présence de quelques autocars vides sur le côté. Des vieux ? des petits ? Je n’en savais rien, mais je ne voyais pas le contenu de ces machines ailleurs que dans les allées du parc du Clairon. Ce n’était pas les premiers, mais les seconds, un bon millier par grappes de trente à quarante, qui m’ont accueilli avec des piaillements et des gesticulations dont les traces colorées s’étendaient jusqu’aux confins des pelouses du parc.