Je ne sais qui, il y a quelques jours, a mentionné Sous le soleil de Satan ; peut-être était-ce ce midi, où nous parlions de Van Gogh, de Pialat. J’ai dit que je ne l’avais pas lu, mais le possédais, et j’ai revu ces deux curieux petits livres achetés aux puces de St Joseph l’année dernière. Cette nuit, avant d’aller me coucher, j’ai pensé qu’il serait bon de rompre un peu avec Casanova et d’entamer en parallèle quelque chose d’autre. J’ai repensé à Satan. En ai tiré le premier exemplaire, que je suis en train de lire, Bibliothèque reliée Plon, 1932, à la couverture rougeâtre cartonnée et assez hideuse