« Ma Filippo andò col primo treno, perchè a Venezia, tra i palazzi che parevano cariati dall’acqua stantía e le calli cieche come i corridoi di un ergastolo, si sentiva di nuovo vacillare, e si struggeva alla vista delle gondole nere come bare. »

 

« Mais Filippo prit le premier train car à Venise, entre les palais qui paraissaient cariés par l’eau croupie et le calli aveugles comme les couloirs d’une geôle, il se sentait de nouveau vaciller, et se consumait à la vue des gondoles noires comme des cercueils. »