Je l’ai entamé au lit pour le reprendre il y a une heure, allongé sur le nouveau lit de la chambre de Tashi, un lit à hauteur normale qui me permet de ne pas trop souffrir lorsque je m’y installe – à la différence du mien, presque à ras de terre. Je découvre, ne l’avais jamais lu. J’y trouve tout de même de belles choses, quoique je puisse penser de Breton (mais je n’ai jamais nié sa dimension d’écrivain)… Il y avait longtemps que je n’avais pas lu un livre armé d’un bristol en guise de coupe-papier (qui incidemment, me sert de marque-pages)…
22 mai 2012