Je l’ai arrêté à la page 228. Si je suis allé jusque là, c’est que j’étais malgré tout intéressé par le dénouement. Et puis j’en ai eu assez. La lecture est trop pénible, demande trop d’indulgence. Notes :

 

104 MAL-ADRESSE

Césure en bout de ligne qui coupe ainsi le mot et fait apparaître sa construction.

 

112 il boit du Talbot 82 avec du fromage et l’auteur le laisse faire...

(les personnages parlent comme on écrit ; et si l’auteur écrivait comme on parle ?)

 

14 juillet 2007