« Pourquoi, dans des œuvres historiques, romanesques, biographiques, y a-t-il […] un plaisir à voir représenter la “ vie quotidienne ” d’une époque, d’un personnage ? Pourquoi cette curiosité des menus détails : horaires, habitudes, repas, logements, vêtements, etc ? »

 

« […] impossible d’imaginer notation plus ténue, plus insignifiante que celle du “ temps qu’il fait ” ; et pourtant […] lisant […] Amiel, irritation de ce que l’éditeur, vertueux […], ait cru bien faire en supprimant de ce Journal les détails quotidiens, le temps qu’il faisait sur les bords du lac de Genève, pour ne garder que d’insipides considérations morales : c’est pourtant ce temps qui n’aurait pas vieilli, non la philosophie d’Amiel. »

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