Je poursuis Picabia, sans déplaisir. Je connais très peu de lui et c’est l’occasion de le circonscrire en attendant de réellement me pencher sur son œuvre. L’appareil iconographique est très pauvre, rassemblé en milieu d’ouvrage comme c’est souvent le cas. Quant au texte, je n’ai rien à en dire si ce n’est que ça se lit...
7 juillet 2008