Extraordinaire. Je viens de recevoir un courrier de Sylvain-Christian David ; il me remercie pour les lignes que j’ai consacrées à son livre et me propose de me faire parvenir quelques poèmes du même Boyer. Je les attends avec impatience. Ce ricochet étonnant par écran interposé n’est pas loin de me donner le vertige. J’exagère à peine. À suivre…

 

6 octobre 2000

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