Je me suis levé tard après une belle nuit chargée de beaux rêves, mais avec les lombes en compote : c’est à peine si je pouvais bouger. Après le petit déjeuner, raide sur un siège du bas, j’ai poursuivi Bouvard et Pécuchet qui me réconcilie un peu avec le peu que je connais de Flaubert, et je me suis même demandé si je ne pouvais pas réessayer Madame Bovary qui m’était tombé des mains il y a dix ou quinze ans... 

 

7 janvier 2007

 

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