Voilà, c’est fait, lu. Qu’est-ce que je pourrais en dire ? Ça tourne, ça donne le tournis, ça étourdit ; par moments je ne savais même plus ce que je lisais ; c’est parfois sentencieux, ça joue avec les mots, il les mélange, ça donne des phrases avec de beaux effets, mais finalement creuses, et, au bout du compte, ça ne dit pas grand-chose, ou des choses faciles, des sortes de portes ouvertes. Je vais en tenter un autre… (Des faux airs de poète… Quel âge avait-il ? – mon exemplaire, Fata Morgana, est du 13 février 1992, je ne l’invente pas...)
13 février 2024