Parlant d’Inès Van Lamsweerde :

 

« […] inventant l’imagerie artificialiste et robotique de femmes et d’enfants aux chairs étonnamment lisses, dépourvues de toute pilosité, comme plastifiées, au sexe et aux attributs sexuels gommés […]. »

 

La revue Paris-Hollywood des années cinquante est un beau précédent.