« Indéniablement liées [les œuvres intimistes] à la faillite des “ grands récits ” diagnostiquée par Jean-François Lyotard, à l’effondrement des idéologies et au morcellement du corps social en “ tribus ” pourvues de codes, de rites et de signes de reconnaissance spécifiques, elles s’élaborent sur le modèle de l’autobiographie littéraire, ou, plus exactement, sur le modèle de l’ “ autofiction ”, pour reprendre une catégorie élaborée par Philippe Lejeune. »
Le mot viendrait donc de lui.